Pendant ses séjours en France et en Autriche dans les années 1920-1930, L. Hohl vit l'expérience de l'errance d'un écrivain sans le sou. Il donne libre cours à sa fantaisie et à son lyrisme pour décrire les faubourgs, les artistes, les prolétaires, les prostituées.
D'inspiration autobiographique, ce récit décrit l'itinéraire d'un peintre à la dérive dans le Montparnasse des années 1920. Dilapidant l'argent de son mécène dans l'alcool qui lui procure des sensations extatiques, son monde intérieur est partagé entre l'ennui et le vertige.